Chaque année à l’approche de la rentrée des classes, les parents d’élèves doivent songer à souscrire une assurance scolaire pour leurs enfants. Entre brochures distribuées par les associations de parents d’élèves et offres promotionnelles des grandes compagnies, il est parfois difficile de s’y retrouver. News Assurances vous explique quelles sont les différentes manières de couvrir son enfant.
Après le premier jour de classe, la plupart des enfants rentrent à la maison avec une brochure pour la souscription d’une assurance scolaire. Ces dernières sont distribuées par les associations de parents d’élèves en partenariat avec certaines compagnies d’assurances ou mutuelles.
Très souvent, les parents d’élèves ont tendance à croire que l’assurance scolaire n’est valable que lorsqu’ils remplissent ces formulaires. Pourtant, il existe d’autres méthodes pour protéger son enfant lors de sa scolarité. « Aujourd’hui, les canaux sont multiples », explique Edgard Mathias. « Le canal traditionnel, c’est celui de l’école, c’est à dire à la suite de la distribution règlementaire qui se fait au moment de la rentrée. Le parent dispose d’un bulletin de souscription, partant de là, il a aussi différents possibilités qui lui sont offertes. Il peut soit se rendre dans l’agence la plus proche en ce qui nous concerne, ou alors souscrire l’assurance scolaire par téléphone ou bien encore par internet. En période de rentrée, il y a même certaines offres promotionnelles mises à disposition par ce mode de souscription » ajoute-il.
L’important c’est que l’élève soit couvert dès le premier jour par une garantie responsabilité civile et une garantie individuelle accident. Fréquemment, les parents ignorent que leur contrat multirisque habitation comporte une RC, et que certains contrats « garantie des accidents de la vie » (GAV) ou « individuelle accident corporel » assurent l’enfant lorsqu’il est victime d’un accident où qu’il soit. Ils souscrivent donc plusieurs fois le même type de garanties, ce qui peut les pénaliser et surtout leur coûter cher.
Chacun est bien évidemment libre de protéger son enfant auprès de l’assureur qui lui convient. A cette période de l’année les offres d’autres compagnies, dont l’assurance scolaire n’est pas forcément la « spécialité », fleurissent. Elles proposent aussi une assurance scolaire proprement dite, ou des garanties diverses couvrant les enfants à l’école.
« Aujourd’hui nous assurons 3 millions d’élèves en France, essentiellement en maternelle et en classes élémentaires », déclare Edgard Mathias. « L ’assurance scolaire est notre cœur de métier, mais d’autres assureurs ont depuis 20 ans ajouté l’appendice « assurance scolaire » à leurs offres pour fidéliser leurs sociétaires », ajoute-t-il en laissant penser que le côté commercial l’emporte parfois sur le bien être de l’assuré.
Que ce soit sur papier, par téléphone, par internet, en agence où inclues dans des contrats déjà existants, les méthodes de souscriptions d’une assurance scolaire sont aujourd’hui multiples. Chacun est libre de procéder comme il l’entend, tant que son enfant est protégé. Il faut savoir que chez les 8-15 ans, le risque d’accidents est important. Selon la 1° compagnie d’assurance, près de 58 % d’entre eux ont lieu dans le cadre scolaire.
L’APEPA vous recommande l’assurance de la Banque Populaire d’Alsace en envoyant vos coordonnées/demande d’information par courrier non affranchi à Banque Populaire d’Alsace – Libre réponse 97218 – 67059 Strasbourg Cedex