Un lycéen est mort pour une histoire d’effaceur !
Nous parents d’élèves de l’APEPA sommes atterrés par ce qui est arrivé.
Nous sommes déjà passés très près de cet incident l’année dernière dans un lycée strasbourgeois mais l’aorte n’a pas été touchée…
Coup de chance …pour tout le monde !
Alors certains osent poser la question à qui la faute ?
La faute certainement à la banalisation de la violence avec en tête la télévision en libre accès parce que la société d’aujourd’hui ne filtre plus rien, parce que les parents doivent travailler à plus d’heures pour satisfaire les besoins des enfants, entre ipod pour échapper à la pression des résultats scolaires ou les voyages scolaires (plus ou moins pédagogiques) à 450 euros….
Nous parents d’élèves de l’APEPA sommes atterrés par ce qui est arrivé.
Nous sommes déjà passés très près de cet incident l’année dernière dans un lycée strasbourgeois mais l’aorte n’a pas été touchée…
Coup de chance …pour tout le monde !
Alors certains osent poser la question à qui la faute ?
La faute certainement à la banalisation de la violence avec en tête la télévision en libre accès parce que la société d’aujourd’hui ne filtre plus rien, parce que les parents doivent travailler à plus d’heures pour satisfaire les besoins des enfants, entre ipod pour échapper à la pression des résultats scolaires ou les voyages scolaires (plus ou moins pédagogiques) à 450 euros….
La faute au cinéma, où les bandes annonces avant les séances pour enfants ou ados projettent des films sans visa pourvus de scènes de violence.
La faute au déchirement de la société, où les familles mono parentales ne peuvent plus assumer les demandes consuméristes de leur progéniture, mais également le respect et les bonnes valeurs.
La faute aussi à l’école qui ne prend pas toujours le relai, et qui même parfois agresse nos jeunes (2 cas d’enseignants qui ont agressé des élèves – au lycée de Saverne et de Barr); qu’en est-il du livre blanc sur la violence publié en mars 1996 par Jean-Paul GAUDEMAR ?
L’école ne traite que les actions curatives, rarement préventives.
Alors réagissons aujourd’hui avec un plan de prévention dans chaque lycée alsacien; encadrons les élèves à hauteur de 1% dans chaque établissement du secondaire. N’attendons pas que la chance tourne aussi chez nous !
Thierry LOTH
Président de l’APEPA
Président de l’APEPA